Candidat à la Candidature Validée pour les 3A

Candidat à la Candidature Validée pour les 3A

La candidature de Abdoulaye Mady NDIAYE a été validée sur la liste du ministère de l’intérieur des candidats à l’Election Présidentielle Sénégalaise de février 2024 ce vendredi 29 septembre 2023.
Le dossier à été porté par la Mandataire et Coordinatrice Nationale Kalsoum POUYE
Notre porte le numéro 51 sur la liste officielle publiée par le quotidien Le Soleil.
Voici le Résumé des notes prises lors de la formation des mandataires le 2 octobre 2023 à l’Hôtel Ngor Diarrama:
Il faudra un minimum de 44231 parrains et un Maximum 58975 parrains pour valider notre candidature par le parrainage citoyen. En effet les 3A privilègient cette approche car plus proche du Peuple Souverain par rapport aux 2 autres modes indirects de parrainages par les députés ou les maires.
A la question posée par notre mandataire Oumy Kalsoum POUYE sur la personnalisation des fiches de parrainage, les autorités de la Direction Générale des Elections (DGE) ont répondu que cela n’était pas nécessaire car chaque candidat a un Numéro unique durant les élections. Et pour 3A et le Candidat Abdoulaye Mady NDIAYE c’est le numéro :95
Il a été recommandé par la DGE de remplir les fiches par commune afin d’éviter des erreurs de décompte. Il faut aussi faire très attention à la date d’expiration de la carte CEDEAO.
IL faut aussi éviter de modifier les formats électroniques des fichiers et se limiter à 10000 parrains par volet de fichier excel
C’est le collecteur lui-même qui signe
Les NIN: sont sur 13 chiffres rarement 14 chiffres
Le dépôt des parrainages c’est entre le 11 et 26 Décembre
Il faudra préciser si la candidature est faite via un parti politique ou en ou en indépendant.
Concentrons nous sur les parrainage et accélérons le SYSTEME EXPERT.
Kalsoum POUYE Mandataire et Coordinatrice Nationale des 3A
A la Une de 24 Heures Chrono : Situation de Tension et Crise au Sénégal avec les Elections Présidentielles de 2024

A la Une de 24 Heures Chrono : Situation de Tension et Crise au Sénégal avec les Elections Présidentielles de 2024

Qui est Abdoulaye Mady NDIAYE ?

Abdoulaye Mady Ndiaye est un digne fils du pays, un ingénieur de l’aéronautique, un capitaine d’industrie, un manager de rang mondial. Je me définis plus comme un homme d’état plutôt qu’un politicien et plus comme un homme d’expérience qu’un technocrate empêtré dans la théorie.

En effet avec plus de 35 ans au cœur du complexe militaro-industriel occidental à concevoir et à développer la plupart des programmes d’avions modernes tels que l’Airbus A320 ou l’Airbus A330 ou le géant des airs l’Airbus A380 ou des avions ravitailleurs et air-transport militaires tactiques ou stratégiques ainsi que leur intégration dans les systèmes de défense nationaux.

En tant que le plus jeune secrétaire général et directeur exécutif de l’organisation européenne pour l’équipement de l’aviation civile (EUROCAE), j’ai su parfaire ma maîtrise des rouages de la coopération industrielle internationale et asseoir mon expérience du développement et de la mise en œuvre des politiques industrielles au niveau européen voire mondial et renforcer ainsi mes talents de manager de rang global.

Je suis un homme de mon temps, un homme de la nouvelle civilisation technologique humaine et je marche sur les pas du professeur Cheikh Anta Diop.

La distinction de « Royukay » en tant que « Scientifique Sénégalais de Référence » lors des Calebasses d’Or 2023, ne peut que grandement me satisfaire et m’encourager dans ma quête car j’aspire à devenir un Grand Africain.

 

Vous vivez la plupart de votre temps en France. Avec le décalage, que vous inspire la classe politique sénégalaise ?

Oui je vis à Bordeaux avec mon épouse Isabelle et mes 4 enfants qui sont tous une fierté. Vous savez Bordeaux est une ville sénégalaise depuis la première guerre mondiale et beaucoup de nos ancêtres tirailleurs sénégalais y sont enterrés. C’est une ville connectée avec l’Afrique et le monde, une parfaite base pour quelqu’un dans l’aviation comme moi. C’est une base parfaite loin du tumulte parisien pour observer avec le bon recul du stratège le Sénégal voire même toute l’Afrique. J’ai la une et l’intégralité de la presse écrite tous les matins. Et je sais tout ce qui se passe dans le pays et après tout je ne suis qu’à 4 heures de Ndiass.

Je résumerais la situation de la manière suivante : l’Afrique noire est malade de ses politiciens. Il y a une forme de prise d’otage des populations par une infime classe politique à travers un système que mon épouse qui est juriste a nommé la Khalissocratie.

Le Sénégal traverse une situation politique explosive. Quelles sont, selon vous, les exigences pour en sortir ?

La situation explosive au niveau politique n’est que la manifestation de profonds problèmes amplifiés par la crise de la COVID-19 et sa gestion catastrophique par l’état, dans la société sénégalaise. Ces fameuses « causes racines du problème» pour reprendre un terme de conception aéronautique sont les véritables questions à résoudre plutôt que leurs effets induits.

Que pensez-vous du dialogue politique appelé par le Président de la République ?

Le dialogue appelé par le Chef de l’Etat est comme son nom l’indique politique alors que le problème de fond n’est pas un problème de politique mais plutôt un profond sentiment d’injustice de manque d’équité ou de fermeture de l’avenir économique ou de l’espoir d’une jeunesse abandonnée à elle même.

Je ne pense pas que l’ensemble de la classe politique réponde vraiment aux véritables attentes de la société sénégalaise. Le Sénégalais type est un jeune garçon de 12 ans ou une jeune fille de 16 ans.  Les plateformes revendicatives sont en grande partie des demandes d’exemptions vis-à-vis de questions juridiques. On ne peut pas réclamer la justice et refuser qu’elle s’applique à nous aussi. Et ceci est valable pour les deux camps qui s’affrontent.

Allez-vous y participer ?

Non. Au vu des résultats des législatives où près de 54%, c’est-à-dire une majorité absolue, des sénégalais du fichier électoral se sont abstenus car ne trouvant pas leur représentation dans le choix binaire et exclusif qui leur a été proposé (YAW ou BBY), sa grande difficulté à trouver une majorité à l’Assemblée Nationale, ainsi que la proximité imminente de la fin de son mandat, le Chef de l’Etat n’a plus vraiment la légitimité d’entamer quelque modification institutionnelle que ce soit et devrait laisser cela à la discrétion de son éventuel successeur au Palais de la République.

Quels sont selon vous les points importants à discuter ?

Ils concernent le parrainage à mon avis, même si je trouve que le parrainage est une bonne chose pour l’avoir initié en janvier 2018 pour me faire connaître en tant que candidat indépendant.

En effet parrainer une seule personne est une forme de révélation du secret du vote, une personne devrait pouvoir parrainer 2 à 3 canditats.

Aussi comme au mondial le détenteur du titre ne devrait pas faire partie du processus sélection ce qui réduit fortement la propension à sa monétisation.

Mais même sans ces ajustements des élections peuvent être organisées et le Chef de l’Etat battu s’il décidait de vouloir se présenter aux prochaines élections.

Il faut que l’on ait tous l’honnêteté intellectuelle d’arrêter la manipulation dans les deux sens. En effet le texte de la constitution n’interdit aucunement le président de CANDIDATER mais de MANDATER.

Et entre ces deux réalités juridiques il y a le VOTE SOUVERAIN des Sénégalais qui pourront faire barrière. Il n’est nul besoin de brûler le pays il suffira d’aller voter pour choisir quelqu’un d’autre et aucun problème constitutionnel de 3 eme mandat ne se posera.

Vous êtes candidats à la présidentielle de 2024. Quelles sont les raisons de cette décision ?

Les mêmes qu’en 2019.

L’offre politique ne répond ni aux besoins véritables ni aux attentes du Sénégalais type qui est un jeune homme de 12 ans ou une jeune fille de 16 ans. L’offre politique actuelle a basculé dans une confrontation excessive de coalitions et d’écuries politiques voire personnelles ou de personnes loin des enjeux véritables de développement. Moi je suis un acteur de développement mondial. A la bagarre je préfère le travail et à la révolution je préfère l’évolution et l’innovation, à la parole je préfère l’action.

Comment appréhendez-vous votre positionnement politique, à quelques encablures de l’élection majeure ?

Nous sommes un candidat indépendant et en réalité cela correspond au rejet palpable des Sénégalais concernant la classe politique. Les Sénégalais sont à la recherche d’un homme nouveau capable d’apporter la justice l’équité et le renouveau de nos valeurs fondamentales.

Vous savez l’élection présidentielle n’est pas une question de coalition mais la rencontre d’un homme ou d’une femme et d’un peuple souverain et dans une rencontre chacun fait le pas l’un vers l’autre. Et moi je veux incarner cet homme nouveau, cet homme moderne qui change la trajectoire de crash certain de la nation si rien d’innovant ou de significatif n’est fait.

Le grand enjeu pour notre mouvement les 3A est de mettre en place une organisation de dimension internationale, la diaspora plus les quatorze régions, capable de collecter de manière opérationnelle les parrainages le moment voulu. Et dans cette mise en œuvre la capitalisation de l’expérience de l’élection de 2019 est d’un apport fort appréciable.

 

Quelle est l’organisation générale de votre offre politique pour le Sénégal ?

Notre offre politique n’est pas une offre qui exploite le social au détriment d’avancée et de progrès mesurables mais plutôt une politique centrée sur l’humain. Je m’explique :

Au début la conception des cockpits ne répondait qu’à des besoins strictement opérationnels mais on s’est vite rendu compte que si on ne s’intéressait pas aux besoins et limitations physiologiques des pilotes on pouvait dangereusement échouer dans notre mission et même faire des hors sujets. Ce qui est vrai dans la conception des aéronefs l’est aussi dans la politique.

La population sénégalaise est jeune ; la moitié des sénégalais n’a pas 16 ans. Et tous ces jeunes ont avant tout besoin d’éducation et d’un bien-être et d’un cadre de vie sécurisé pour grandir et pouvoir s’épanouir demain.

C’est pourquoi le Système d’Education Nationale est notre priorité absolue et l’axe central de l’investissement pour les générations futures. Vu la jeunesse de la population qui est aussi notre plus précieuse ressource bien avant les ressources minières et gazières, la santé doit être une priorité nationale et non une activité de business. Nous croyons à la santé pour tous comme en France ou en Angleterre.

Ce sont là des axes dépenses certes que nous financerons par le changement de modèle économique. En effet nous devons impérativement quitter l’économie de rente basée sur le bradage de nos ressources pour une montée franche de l’industrialisation.

Notre grande différence avec les autres candidats est notre capacité à projeter de manière presque instantanée le Sénégal dans l’ère industrielle. Et ceci tombe bien avec l’avènement de l’ère gazière et pétrolière. Tout cela s’appuyant sur l’économie du savoir comme socle de la nouvelle société moderne du Sénégal.

Et même l’agriculture et les autres secteurs de création de richesses nécessitent cette acquisition ou transfert technologique à travers la maîtrise énergétique et la maîtrise de l’eau.

 

L’action publique est malade au Sénégal. Comment comptez-vous vous y prendre pour redorer son blason ?

La population a clairement l’impression que l’état n’est pas au service des populations mais pour l’intérêt des hauts dirigeants qui sont à sa tête. Ce sentiment est appuyé par l’impunité, les différences excessives de revenus, de privilèges et de traitements.

Nous avons développé un concept que l’on nomme l’Etat Agile. En effet si le lion est puissant il reste néanmoins très agile. Il sait à la fois allier rigueur et souplesse, force et douceur, rapidité et simplicité, procédure sans bureaucratie excessive. Nous voulons ainsi par exemple faire disparaître toutes les lenteurs administratives par la digitalisation en profondeur et combattre la corruption pas les algorithmes et l’intelligence artificielle.

Effectivement, Aujourd’hui au Sénégal il est beaucoup question d’économie numérique. L’innovation dans le secteur technologique est-elle au rendez-vous ?

On sent effectivement un certain dynamisme dans ce secteur, au niveau du développement d’applications dans la Fintech et les Services de transport urbain ou même de l’énergie de la gestion du réseau électrique et de la ville intelligente et de l’éducation à distance. Dans ce secteur l’Afrique a à plus d’un titre été en avance avec le premier portefeuille électronique qui a été inventé par un Africain au Kenya.

Comment mieux appréhender ce domaine pour le développement du pays ?

La digitalisation est certainement la plus grande opportunité de croissance jamais offerte à l’Afrique.

Le rôle de l’état lui, est de structurer le secteur par une normalisation pertinente tout en maintenant son dynamisme et l’investissement dans les secteurs stratégiques du transport et du stockage des données, mais aussi dans le développement de briques stratégiques au cœur des systèmes d’exploitations tout en surveillant de près les questions de la cyber sécurité – Talon d’Achille du domaine -, et de dépendance stratégique.

Il est primordiale de faire monter des champions nationaux dans le secteur afin de capter la formidable croissance issue de ce secteur et ne pas la laisser entièrement aux mains de multinationales ce qui va de plus en plus devenir un enjeu de souveraineté nationale.

Un tel secteur pourrait en grande partie financer notre principe de santé pour tous et être un formidable outil au service de l’économie infinie du savoir que nous mettons en avant comme socle du développement et de la réaffirmation africaine.

 

Opinion du Candidat AMN sur la Situation Pré-Electorale au Sénégal

Opinion du Candidat AMN sur la Situation Pré-Electorale au Sénégal

Abdoulaye Mady Ndiaye était l’invité de Georges Nesta Diop ce dimanche 21 mai 2023 dans l’émission hebdomadaire Opinion de Walf TV. (Walfadjri).

Un grand moment de télévision, une émission à voir et revoir et que nous vous recommandons vivement.

Les questions clé du moment à savoir la tension extrême qui sévit dans le pays, la loi sur le parrainage citoyen, La modification du code électoral,  le troisième mandat éventuel du président et la participation de certains opposants, ainsi que les affaires de justice en cours ont été abordées avec sérénité, clairvoyance et pragmatisme.

Voici quelques réponses du candidat des 3A Abdoulaye Mady Ndiaye au journaliste de Walfadjri qui montrent un point de vue nouveau et apaisant sur les questions qui embrasent le pays depuis le début de l’année :

  • Le Sénégalais type est un jeune garçon de 12 ans ou une fillette de 14 ans, et il n’a pas besoin de AIBD mais d’une bonne éducation
  • Je ne suis pas venu ici pour parler d’un autre candidat ou du président mais de Abdoulaye Mady Ndiaye
  • Le président a un bilan mais son bilan est hors sujet
  • Je cultive une distance avec toutes les affaires juridiques en cours
  • Je vais vous surprendre car le président a le droit de candidater, mais il doit avoir l’intelligence de ne pas le faire
  • La constitution de « mandater » mais pas de « candidater ».

En lien ci-dessous l’intégralité de l’émission à visionner sur Youtube.

Bigué Dieng / Pape Ousmane Ba

En lien ci-dessous l’intégraliité de l’émission à visionner sur Youtube. ;

Abdoulaye Mady Ndiaye élevé au rang de Scientifique Sénégalais de Référence par le Mouvement des Patriotes du Sénégal

Abdoulaye Mady Ndiaye élevé au rang de Scientifique Sénégalais de Référence par le Mouvement des Patriotes du Sénégal

Voici dans son intégralité le discours que Abdoulaye Mady Ndiaye a tenu lors de la remise de cette distinction qui prime sa carrière au plus haut sommet du complexe militaro-industriel occidental pendant plus de 32 ans :

Je me sens fortuné et chanceux et je remercie le ciel car c’est ici même 40 ans au paravent que je me trouvais en tant que jeune lycéen pour recevoir des prix d’excellence. A l’époque j’étais un élève et INTERNE au Lycée d’élite Van Vollenhoven devenu depuis Lamine Gueye tous les 2 des ancien Gouverneur de l’AOF.
 Quand on EDUQUE BIEN SES ENFANTS ils sont capables de CONQUERIR LE MONDE dans n’importe quel domaine
Et l’ ERE SOCIALISTE de l’époque avait mis en place tout ce qui était nécessaire pour notre Réussite. Je me sens donc aussi REDEVABLE énormément envers mon PAYS.
La réponse de L’éminent Professeur feu Iba der THIAM ancien ministre de l’EDUCATION NATIONALE de l’époque à la question que je lui avais posé en 2017 à savoir : « je suis candidat à l’élection présidentielle de 2019 que me conseillez vous ». a été directe: « Je n’ai PLUS RIEN à VOUS APPRENDRE. Et je suis sûr que vous savez tout ce que vous avez à faire pour mener à bien votre projet ! »
et monsieur IBRAHIMA FAYE son secrétaire est là pour le témoigner»
En effet Le Professeur Iba der THIAM avait en effet en 1986 écrit une TRIBUNE DANS LE SOLEIL de l’époque en mon honneur pour CELEBRER LE TRIOMPHE de l’éducation nationale à la Sénégalaise après ma réussite au concours d’entrée à 5 GRANDES ECOLES D’INGENIEURS EN France et défendre son bilan.
Et j’ai choisi bien sûr sans hésiter l’ ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DE L’AVIATION CIVILE de TOULOUSE.
Et en réalité ce CHOIX d’une CARRIERRE dans l’AEROSPATIALE est déjà fait quand depuis les bancs de ma classe de TERMINALE C au 2 eme étage du lycée où je pouvais voir depuis cette VUE IMPRENABLE l’APPROCHE FINALE de l’AVION SUPERSONIQUE CONCORDE sur l’Aéroport de YANKI FOX ( DAKAR YOFF) lors de son escale de PARIS-RIO.
Ou même BIEN AVANT à THIES ou se trouvait une BASE AERIENNE FRANCAISE et où des AVIONS DE CHASSE décollaient dans un vacarme assourdissant. Ma GRAND-MERE me disant que seul les blancs savaient faire des choses comme ça et j’avais immédiatement RéTORQUé que moi aussi son petit fils je saurais en faire quand je serais grand !
 Mon objectif était déjà clair et mon REVE sur les RAIL de sa réalisation.
Voila comment à 45 ANS je deviens le plus jeune SEC-GEN et DIRECTEUR EXECUTIF jamais élu de l’ORGANISATION EUROPEENNE pour l’EQUIPEMENT de l’AVIATION CIVILE ;
avec au total PLUS de 30 ANS d’expérience au cœur du COMPLEXE MILITARO INDUSTRIEL-OCCIDENTAL à concevoir les avions de LINGNES comme MILITAIRE de dernière génération avec la généralisation des COCKPITS DIGITAUX et de l’AVIONIQUE de mais aussi de PUISSANTS SYSTEMES D’ARMES et de DEFENSE. Il m’est même arrivé d’écrire des spécifications techniques que je n’avais après plus de droit de lire pour raison de SECRET-DEFENSE !
 Oui nous avons réussi à percer la LIGNE DE DEFENSE du MOTEUR véritable du développement occidental : le complexe militaro-industriel. C’est la CLE même du progrès technologique, des INNOVATIONS DE RUPTURE, de la CIVILISATION de l’homme moderne et AUSSI du nouveau MODE DE DOMINATION mondiale. Car la dépendance Technologique est encore pire que la dépendance politique.
 Finalement si on y regarde bien le MOTEUR véritable de notre MOTIVATION toutes ces années et sur 3 CONTINENTS différents est très simple et unique : c’est l’ ACQUISITION TECHNOLOGIQUE.
Parce que quand on observe bien les OCCIDENTAUX se sont ABSTENUS d’une chose en Afrique. Et c’est quoi à votre avis. C’est le TRANSFERT TECHNOLOGIQUE . Il y a eu que de très très RARES EXCEPTIONS comme l’ECOLE POLYTECHNIQUE de THIES et qui a été fait par la COOPERATION CANADIENNE.
Si nous nous sommes lancés dans cette QUETE TECHNO ce n’est pas parce que c’est FACILE mais parce que c’était certainement le chemin le plus DIFFICILE pour un africain et car nous avons si peu investi dedans en tant que nation ou continent.
Si nous avons choisi l’aérospatiale ce n’est pas parce que c’est PRESTIGIEUX, mais parce que c’est le domaine le PLUS AVANCE ET COMPLET technologiquement parlant.
Si nous avons choisi l’aviation ce n’est pas pour FAIRE LE TOUR DU MONDE tous les mois mais parce que c’est une INDUSTRIE de DIMENSION MONDIALE capable de nous bâtir un RESEAU DE PARTENAIRES au niveau global et de MAITRISER les rouages de la COOPERATION INDUSTRIELLE INTERNATIONALE.
Oui chers compatriotes le DEFI AFRICAIN EST TECHNOLOGIQUE. Et paradoxalement pourtant la technologie est NEE en Afrique avec l’ EGYPTE DE PHARAON (PHARAON) comme le démontre le Professeur CHEICKH ANTA DIOP ma référence, mon ROYUKAY.
La TECHNOLOGIE est le grâle qui nous permettra de TRANSFORMER nous mêmes nos gigantesques RESSOURCES afin de CREER DE LA VALEUR et nous hisser à notre véritable rang mondial.
Oui si la Chine peut aujourd’hui devenir un champion Technologique mondial alors nous aussi nous pouvons le faire nous aussi.
En effet entre la construction des 2 GRANDS STADES de l’ AMITIE et le LAMBOPOLE par la Chine c’est-à-dire 1/4 de SIECLE la Chine ne nous a transféré aucune technologie de construction et nous a laissé sur place pour devenir la PREMIERE PUISSANCE ECONOMIQUE MONDIALE et maintenant tout le monde apprend le MANDARIN.
Nous devons relever le DEFI et REFUSER LE STAUQUO comme de véritables LIONS de la Terranga et dans tous les domaines, mouiller la chemise ou la maillot.
 SANS maitrise technologique nous resterons les BONS DERNIERS de la planète quelque soit le niveau de ressource que dieu a pu octroyer à l’Afrique, car nous sommes tout simplement passé dans une CIVILISATION TECHNOLOGIQUE.
Une nation se construit en tirant vers le haut en non en nivelant par le bas. Par l’ INTELLIGENCE COLLECTIVE et la COHESION SOCIALE qui permet de la maintenir en un seul bloc permettant la TRANSMISSION de l’effort de progrès à TOUS LES ETAGES, Par de GRANDS PROGRAMMES fédérateurs et générateurs de richesse nationale.
Pour exemple de Président Suharto avait voulu dans les années 1980 construire un AVION INDONESIEN et beaucoup de ses compatriotes avaient posé la QUESTION DE LA PERTINENCE d’un tel projet. Il avait expliqué que l’Indonésie sera différente après ce projet car pour le réussir beaucoup de choses allaient CHANGER EN PROFONDEUR dans ce pays pour que ce projet national soit un succès. Et c’est ainsi que j’ai trouvé une CENTAINE de JEUNES ELEVES INGENIEURS indonésiens avec nous sur le CAMPUS AEROSPATIAL DE TOULOUSE dans un programme SPECIALE DE COOPERATION d’état à état entre la France ET L’INDONESIE et beaucoup sont devenus nos amis.
Certes l’Indonésie n’a pas réussi à finalisé son programme d’avion qui a été RACHETE PAR L’ESPAGNE et sur lequel j’ai été nommé directeur de programme modernisation par THALES (j’avais vu cette avion en voyage d’étude à l’usine de BANDUNG !)
Mais en définitive le Président Suharto a bien réussi son pari. Savez-vous pourquoi je dis cela ? .Il suffit de regarder dans les rues de Dakar. Réfléchissez un peu. Comment s’appelle la capitale de l’Indonésie ? JAKARTA. Ah les fameux JAKARTA qui les ont conçus ? Mais Mieux encore l’Indonésie est entrain de dépasser la France en terme de PIB. Comme quoi tout est POSSIBLE quand on se fixe des objectifs et des priorités.

MAIS je sais que beaucoup de gens n’ont pas encore entendu TOUT ce qu’ils sont venus écouter aujourd’hui et c’est cela la deuxième phase beaucoup plus courte de mon discours pour coller parfaitement avec le thème DEVELOPPEMENT et GOUVERNANCE de cette édition des Calebasses d’Or une INSTITUTION qui FAIT ma fierté par l’INITIATIVE CITOYENNE et que je salut car elle me donne aussi l’opportunité de me présenter..
A savoir suis-je CANDIDAT ou pas. Mais vous le savez bien que la marque du LION ce n’est pas forcément le succès mais la DETERMINATION et la PERSEVERANCE dans l’action.
 Alors OUI je suis CANDIDAT, assurément CANDIDAT et je reste CANDIDAT.
Et si je suis candidat ce n’est pas parce que c’est FACILE mais parce que c’est DIFFICILE pour un TECHNOCRATE comme moi dans un pays ou la POLITIQUE POLITICIENNE et la KHALISSOCRATIE ont presque détruit toutes les valeurs et ou la vision court terme a pris le dessus sur la perspective d’avenir.
Si je suis candidat ce n’est pas parce que c’est mon DROIT mais parce que c’est mon DEVOIR en tant qu’ INDUSTRIEL de rang mondial et HOMME de la CIVILISATION technologique à l’époque où tout le monde s’accorde maintenant même au niveau des NATIONS UNIS que l’ INDUSTRIALISATION est la VOIE du développement pour l’Afrique.
Si je suis candidat ce n’est pas pour MOI mais c’est pour VOUS la JEUNESSE de mon pays et à qui il faut élargir l’HORIZON DES OPPORTUNITES car d’ici 2100 un terrien sur 3 sera un JEUNE AFRICAIN, ce qui constitue déjà une FORCE CONSIDERABLE. Oui car avec une EDUCATION de premier rang comme celle que j’ai reçu quand j’étais jeune mais correctement taillée aux besoins actuels de l’Afrique cette RESSOURCE HUMAINE qui est notre plus GRANDE RESSOURCE se transformera en PUISSANCE génératrice de richesse.
Oui je suis venu pour rencontrer la presse et les compatriotes et vous présenter une VISION d’AVENIR AMBITIEUSE, PROGRESSITE et MODERNE en rupture avec ce que vous avez pu connaître jusqu’à présent de ce GRAND PAYS QUI EST LE MIEN.
Pour que la richesse de la nation devienne la prospérité du peuple
et je n’aurais pu rêver d’une telle audience pour l’annoncer publiquement
OUI je suis candidat !

Abdoulaye Mady NDIAYE

MEILLEURS VOEUX 2022

MEILLEURS VOEUX 2022

HIER – AUJOURD’HUI – DEMAIN, pour que la Richesse des Nations devienne la Prospérité des Peuples
Mes chers compatriotes,
Mes Meilleurs Vœux de Bonheur, de Prospérité, de Succès et surtout d’une Santé de fer, vont vers vous et vos familles. Que l’année vous apporte précisément ce que vous avez tant cherché, chéri ou désiré. Que Dieu vous protège de sa miséricorde et vous comble de ses bienfaits.
Que sa Clémence infinie englobe ceux si chers à nos cœurs qui nous ont malheureusement quittés.
Au seuil de cette nouvelle année 2022 nous devons nous mobiliser d’avantage encore pour faire face à l’épidémie de manière responsable sans verser dans la peur ou le désespoir, nous devons faire preuve, nous les peuples souverains du monde, de plus de détermination et de persévérance pour accompagner l’émergence d’un Monde Nouveau qui remet profondément en question les nombreuses dérives abusives, confiscatoires des libertés, déresponsabilisation, d’infantilisation et de coercition des populations souveraines sous le prétexte de sécurité sanitaire et leur bien.
L’implémentation de la Souveraineté Nationale de l’Abbé Emmanuel-Joseph SIEYES exposée dans son ouvrage « Qu’es-ce que le Tiers Etat de 1789, atteint définitivement des limites abusives.
Nous devons impérativement revoir le Contrat Social qui a été signé avec les dirigeants, car la délégation de pouvoir s’est bien transformée depuis bien longtemps en abus de pouvoir dans nombre de nations. Jean-Jacques ROUSSEAU dans son Contrat Social de 1762 était pour une Souveraineté Populaire dans le cadre d’un système de démocratie directe.
Et paradoxalement la mise en œuvre de la Souveraineté Populaire qui était techniquement impossible à l’époque du fait d’un peuple trop ignorant pour décider par lui-même et l’absence d’outils de masse media et connectivité n’est plus d’actualité avec la transition numérique et le haut niveau de connectivité internet partout dans le monde.
Cette opposition entre Souveraineté Nationale et Souveraineté Populaire est de nouveau d’actualité et c’est dans ce contexte de remise en question de l’exercice même du pouvoir que nous imaginons un Sénégal qui enfin retrouve la voie du succès en s’appuyant davantage sur ses valeurs fondamentales d’
HIER,
de foi inébranlable en un seul dieu, de travail, d’honneur, de dignité, de fraternité, de paix, de générosité, de tolérance, de respect de l’autre, de la parole donnée, de sacralisation de nos ancêtres et de la vie humaine en général, de partage et de Terranga.
Je rêve aussi d’un Sénégal qui s’ancre dans les réalités mondiales d’
AUJOURD’HUI,
avec une gestion qui comprend plus le sens des priorités des populations, plus équitable, plus objective, plus moderne et efficace des affaires d’état, qui écarte le cancer de la corruption et de la Khalissocratie pour ne privilégier que l’intérêt supérieur de la nation, qui fait triompher la raison et le bon sens, qui protège les plus démunis et les plus fragiles d’entre nous dans un pacte de solidarité et d’intelligence collective.
Et je rêve aussi d’un Sénégal capable de se projeter vers
DEMAIN, l’Avenir,
Capable d’offrir une éducation et un avenir à tous les enfants de la nation pour que chacun puisse arriver à sa destination et que aucun citoyen n’ait plus besoin de s’exiler pour trouver son salut, capable de saisir les opportunités d’un monde en transition, dont les équilibres d’hier vont dramatiquement changer demain, capable de s’intégrer dans un monde toujours plus technologique, et toujours plus complexe et dangereux pour l’humain, capable de trouver les réelles coopérations gagnant-gagnant, capable de définir un cap vers la reconquête des souverainetés perdues et de défense nationale, et surtout une réorientation vers la Souveraineté Populaire et la Démocratie Liquide voire même la Révocation Ad Nutum du chef de l’état pour que enfin les richesses que Dieu a octroyées à la nation deviennent la prospérité du peuple, et que les classes dirigeantes comprennent qu’elles ont une simple délégation temporaire du pouvoir du Peuple Souverain.
Chers compatriotes, le rêve précède la réalité pour ceux qui savent s’atteler à la tâche avec foi et détermination. Alors redoublons d’effort dès aujourd’hui, apprenons des erreurs et des difficultés d’hier, et des souffrances d’aujourd’hui, pour mieux affronter le futur. Dieu ne contraint plus que de raison et l’heure de gloire finit toujours par arriver pour le croyant.
Enfin que l’Année qui commence tourne résolument notre continent l’Afrique toute entière vers l’Avenir, dans un Monde plus Fraternel, plus Responsable et Durable.
Car il en va en réalité de la pérennité même de Homo-Sapiens-Sapiens
Abdoulaye Mady NDiaye