Abdoulaye Mady Ndiaye Envoie un Lettre Ouverte au President Macky Sall à Propos du Recours sur La Loi Electorale L57 et L120

Abdoulaye Mady Ndiaye Envoie un Lettre Ouverte au President Macky Sall à Propos du Recours sur La Loi Electorale L57 et L120

Référence : SEN 004-24/ SECG-004-01 Bordeaux le, 23 janvier 2024

LETTRE OUVERTE A L’ATTENTION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL

Objet : Réponse du Conseil Constitutionnel du Sénégal à propos de notre recours intitulé Rupture du Principe d’Egalité Constitutionnelle,

SEM LE PRESIDENT MACKY SALL,
Concernant le recours déposé initialement le 5 janvier puis le 16 janvier par la Mandataire d’Abdoulaye Mady Ndiaye (n°95) auprès du Conseil Constitutionnel, concernant le processus de parrainage qu’il juge inégalitaire devant les citoyens candidats à la candidature présidentielle,

Le Conseil Constitutionnel dans sa décision du 20 janvier 2024 (2/E/2024) a jugé notre requête comme irrecevable pour motif que nous n’avons finalisé notre dépôt de candidature. Donc notre requête n’a pas été analysée et a été déboutée sur la forme, ce qui nous laisse une voie de recours sur le fond sur lequel aucune décision définitive n’a été rendue.

La voie première pour s’adresser au Conseil constitutionnel étant le Président de la République lui-même, c’est donc au Gardien de la Constitution que nous nous adressons maintenant pour saisir le Conseil Constitutionnel sur une question qui relève de la constitutionnalité même des lois.

Nous allons effectivement utiliser toutes les possibilités afin de combattre ces lois sur le parrainage car c’est notre intime conviction qu’elles transgressent des principes fondamentaux de la Constitution de notre pays, et sont sources de litiges et de sentiment d’injustice et d’impartialité qui ruinent la légitimité de notre processus électoral. « Coumba am député, Coumba amoul député »

Pour rappel :
8/- Les lois constitutionnelles n°63-22 du 7 mars 1963 et n°2018-14 du 11 mai 2018 fixaient toutes deux des conditions uniformément applicables à tous les candidats à savoir respectivement ; 50 électeurs dont 10 députés dans un premier temps, puis 0,8 à 1% de parrainage citoyen dans un second temps.
9/- Par contre, la nouvelle version du code électoral et particulièrement le couplage des lois L57 et L120 crée une rupture d’égalité ; et ne garantit plus « l’accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l’exercice du pouvoir à tous les niveaux » ; du préambule de la Constitution ; elle crée une distorsion nette de traitement entre les candidats, une iniquité, un handicap pour certain et des avantages pour d’autres, un processus aléatoire pour certains et déterministe pour d’autres, et ces lois devraient être abrogées tout simplement.

Cette loi électorale sur le parrainage est injuste et inventée par des acteurs d’une Assemblée Nationale constituante n’ayant regardé que leurs intérêts propres.

Abdoulaye Mady NDIAYE

Réponse du Conseil Constitutionnel du Sénégal à propos du recours d’Abdoulaye Mady Ndiaye intitulé Rupture du Principe d’Egalité Constitutionnelle,

Réponse du Conseil Constitutionnel du Sénégal à propos du recours d’Abdoulaye Mady Ndiaye intitulé Rupture du Principe d’Egalité Constitutionnelle,

COMMUNIQUE DE PRESSE

Référence : SEN 003-24/ SECG-003-02 Bordeaux le, 20 janvier 2024

Objet : Réponse du Conseil Constitutionnel du Sénégal à propos de notre recours intitulé Rupture du Principe d’Egalité Constitutionnelle,

Concernant le recours déposé initialement le 5 janvier puis le 16 janvier par la Mandataire d’Abdoulaye Mady Ndiaye (n°95) auprès du Conseil Constitutionnel, concernant le processus de parrainage qu’il juge inégalitaire devant les citoyens candidats à la candidature présidentielle,

Le Conseil Constitutionnel dans sa décision du 20 janvier 2024 (2/E/2024) a jugé notre requête comme irrecevable pour motif que nous n’avons pas finalisé notre dépôt de candidature. Donc notre requête n’a pas été analysée et a été déboutée sur la forme.

Les décisions de ce Conseil Constitutionnel ne pouvant faire l’objet de recours, il ne nous reste d’autre solution que de trouver d’autres voies qualifiées pour porter notre recours à ce dit Conseil à savoir :
• Soit par le Président de la République qualifié à le saisir à tout instant,
• Soit par une partie significative des députés de l’Assemblée, ce qui est peu probable,
• Soit par un collectif significatif de citoyens ce qui est à confirmer.

Nous allons effectivement utiliser toutes les possibilités afin de combattre ces lois sur le parrainage car c’est notre intime conviction qu’elles transgressent des principes fondamentaux de la Constitution de notre pays, et sont sources de litiges et de sentiment d’injustice et d’impartialité qui ruinent la légitimité de notre processus électoral.

Pour rappel :

8/- Les lois constitutionnelles n°63-22 du 7 mars 1963 et n°2018-14 du 11 mai 2018 fixaient toutes deux des conditions uniformément applicables à tous les candidats à savoir respectivement ; 50 électeurs dont 10 députés dans un premier temps, puis 0,8 à 1% de parrainage citoyen dans un second temps.
9/- Par contre, la nouvelle version du code électoral et particulièrement le couplage des lois L57 et L120 crée une rupture d’égalité ; et ne garantit plus « l’accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l’exercice du pouvoir à tous les niveaux » ;du préambule de la Constitution ; elle crée une distorsion nette de traitement entre les candidats, une iniquité, un handicap pour certain et des avantages pour d’autres, un processus aléatoire pour certains et déterministe pour d’autres, et ces lois devraient être abrogées tout simplement.

Monsieur Ndiaye est convaincu que cette loi électorale sur le parrainage est injuste et inventée par des acteurs d’une Assemblée Nationale constituante ayant regardé que leurs intérêts propres au détriment d’acteurs indépendants comme lui fondamentalement désireux de faire entrer notre nation dans une nouvelle ère de progrès.

Recours auprès du Conseil Constitutionnel du Sénégal pour rupture du principe d’égalité, à propos du processus de Parrainage en vue de l’Election Présidentielle du 24 février 2024

Recours auprès du Conseil Constitutionnel du Sénégal pour rupture du principe d’égalité, à propos du processus de Parrainage en vue de l’Election Présidentielle du 24 février 2024

COMMUNIQUE DE PRESSE A TELECHARGER

Monsieur Abdoulaye Mady Ndiaye (n°95) a déposé ce jour un recours auprès du CC, concernant le processus de parrainage qu’il juge inégalitaire devant les citoyens candidats à la candidature présidentielle.

1/- En effet, l’existence de 3 options différentes nécessitant des efforts très disproportionnés, et non exclusives est un handicap certain pour les candidats indépendants.
La logistique entre le remplissage d’une feuille de 13 députés est incomparable au remplissage de près de 5000 feuilles de parrainage à travers tout le Sénégal sans tenir compte de la saisie, la mise en œuvre de matériel informatique et le déploiement de la sécurité nécessaire pour ne pas divulguer les données personnelles recueillies.

2/- Au vu de la précédente élection législative, avec un taux d’abstention de 53,7%, 13 députés représentent moins de 23000 parrains contre les 44231 requis pour le parrainage citoyen.

3/- La non exclusivité du mode de parrainage (Députés/Maires et Conseils Départementaux/Citoyens) a vu l’occupation du terrain des parrainages citoyens par des candidats qui ont collecté nombre de parrainages avec des moyens d’appareils politiques incomparables à ceux des candidats indépendants, sans in fine en avoir besoin sinon que d’assécher les opportunités de parrainages pour leurs potentiels concurrents.

4/- Donc certains candidats avaient 3 options, certains que 2 et certains une seule et unique option ce qui est une iniquité flagrante. Chaque candidat devrait choisir son couloir dès le début de la course et s’y maintenir.

5/- Rappelons aussi que les 186000 doublons identifiés par la presse lors de l’élection de 2019 n’ont fait l’objet d’aucune forme de sanction, encourageant ainsi toutes sortes de dérives concernant le parrainage citoyen. On constate aujourd’hui qu’aucun candidat n’est à l’abri de doublons sinon les tous premiers à passer lors du tirage au sort, et encore.

6/- L’ensemble du processus de parrainage prend une nature stochastique entre les parrainages dument recueillis et ne figurant pas sur le fichier électoral ainsi que les doublons découverts qu’après la fin d’un long et fastidieux travail de collecte si couteux en ressources humaines et financières, et fortement dépendant du rang de passage déterminé par le tirage au sort.
7/- Ceci est inacceptable et encore une fois il y a une inégalité flagrante de traitement car ceux qui ont des députés savent à quoi s’en tenir avant de déposer leur candidature alors que ceux qui ont des parrainages citoyens n’ont aucune idée de ce qui peut les attendre à propos des doublons, ainsi ils avancent en aveugle, n’ayant aucun moyen de vérification à leur disposition. Le législateur n’a rien fait à ce propos pour dissuader les trafics de parrainages en tous genres et des serveurs permettant de supprimer techniquement la possibilité de doublons n’ont pas non plus accompagné la mise en œuvre de cette loi sur le parrainage.

8/- Les lois constitutionnelles n°63-22 du 7 mars 1963 et n°2018-14 du 11 mai 2018 fixaient toutes deux des conditions uniformément applicables à tous les candidats à savoir respectivement ; 50 électeurs dont 10 députés dans un premier temps, puis 0,8 à 1% de parrainage citoyen dans un second temps.

9/- Par contre, la nouvelle version du code électoral et particulièrement le couplage des lois L57 et L120 crée une rupture d’égalité ; et ne garantit plus « l’accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l’exercice du pouvoir à tous les niveaux » ;du préambule de la Constitution ; elle crée une distorsion nette de traitement entre les candidats, une iniquité, un handicap pour certain et des avantages pour d’autres, un processus aléatoire pour certains et déterministe pour d’autres, et devraient être abrogées tout simplement.

Monsieur Ndiaye est convaincu que cette loi électorale sur le parrainage est injuste et inventée par des acteurs d’une Assemblée Nationale constituante ayant regardé que leurs intérêts propres au détriment d’acteurs indépendants comme lui fondamentalement désireux de faire entrer notre nation dans une nouvelle ère de progrès.

La mandataire Oumy Pouye présentant à la presse le recepissé du recours signé par le Greffe du Conseil Constitutionnel à Dakar ce jour vendredi 5 janvier 2024.

Président Abdoulaye Mady Ndiaye

Président Abdoulaye Mady Ndiaye @3A

 

A propos de la candidature à la candidature de Abdoulaye Mady Ndiaye à l’élection présidentielle de 24 février 2024.

A propos de la candidature à la candidature de Abdoulaye Mady Ndiaye à l’élection présidentielle de 24 février 2024.

A propos de la candidature à la candidature de Abdoulaye Mady Ndiaye à l’élection présidentielle de 24 février 2024.
Certes nous l’avons fait tardivement mais nous avons réussi à collecter le 12 décembre un peu moins de 60000 parrainages citoyens contrairement à 2018 où nous n’avions pas passé la barre des 20000 parrainages. Nous n’avons cependant pas eu le temps matériel de remplir la clé USB qu’il fallait remettre au Conseil constitutionnel aussi il nous a paru opportun de renoncer au dépôt.
Nous pensons que le Conseil Constitutionnel est un organe trop important et d’une institution autre que celle de l’Exécutif et que y déposer un dossier incomplet en connaissance de cause pour un candidat à la magistrature suprême est une forme de manque de respect à l’égard des institutions. (Conseil Constitutionnel Nawlé Président la te Nawlé degnokay diokh tieurram).
Il paraît d’ores et déjà clair que le parrainage citoyen est devenu un problème et une entreprise hasardeuse et n’est plus véritablement une solution pour trier les candidats (doublons, trafic de parrainages, achat vente et revente, vente en gros et attribution et distribution etc). Aussi pour mémoire les 186000 doublons de 2019 n’ont fait l’objet d’aucune forme de sanction.
Même si l’idée d’origine était bonne il paraît maintenant délicat de faire reposer la destinée de toute une nation sur un tirage au sort. Des propositions à ce propos seront faites par les 3A ultérieurement.
Nous avons beaucoup progressé mais c’est encore insuffisant et nous devons continuer notre croissance et savoir être patients et redoubler d’efforts. Nous devons capitaliser nos acquis, travailler plus sur l’esprit d’équipe et le déploiement territorial des 3A. Nous sommes bien présents dans le bassin arachidier mais relativement absents des régions périphériques de ce bassin : Saint Louis, Dakar, Ziguinchor, Tambacounda, Kédougou, Matam. Nos grandes bases sont Thiès, Fatick et Diourbel (le cœur même du bassin).
Les 3A ont une grande ambition d’un Sénégal leader d’une Afrique qui retrouve sa place au sein d’un monde en mutation sévère mais les 3A sont aujourd’hui un véhicule trop jeune encore pour nous porter au pouvoir, et ceci n’est pas une raison pour chercher à brûler des étapes ou chercher des raccourcis qui nous feraient perdre notre âme et nos valeurs. Nous devons travailler, travailler et encore travailler comme le disait mon professeur de sciences physiques Mr Kane à Van Vo (Lamine Gueye).
Restons des arbitres du processus électoral actuel et préparons dès maintenant les prochaines échéances. Entre temps mettons en œuvre avec nos partenaires, notre vision par des projets phares autour de l’industrialisation et des transferts technologiques et démontrons au lieu d’essayer d’expliquer que nous sommes une option d’avenir.
Abdoulaye Mady NDIAYE
Président des 3A

3A AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL DU SENEGAL

3A AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL DU SENEGAL

Au CONSEIL CONSTITUTIONNEL du SÉNÉGAL hier pour :
– la NOTIFICATION de Candidature Présidentielle et
– la DÉCLARATION D’INVESTITURE du candidat indépendant Abdoulaye Mady Ndiaye aux autorités judiciaires.
Il y a une subtile double déclaration qui encore une fois démontre la SÉPARATION DES POUVOIRS entre l’ETAT et la JUSTICE ; entre le Ministère de l’intérieur et le Conseil constitutionnel
Vive le Sénégal !
Abdoulaye Mady Ndiaye reçoit le prestigieux prix des DIASPORA AWARDS 2023

Abdoulaye Mady Ndiaye reçoit le prestigieux prix des DIASPORA AWARDS 2023

DÎNER DE GALA Distinction reçue du Colectif des Cadres de la DIASPORA SÉNÉGALAISE
DIASPORA AWARDS
Ce prix met en lumière la carrière exemplaire du President Abdoulaye Mady Ndiaye en Europe et dans le monde occidental.
Accompagné de quelques cadres des 3A mais surtout au nom de toute l’équipe à travers presque toutes les régions du Sénégal et de la Diaspora africaine et occidentale
Ce prix est dédié à feu MA MÈRE LA DAME DE FER ainsi qu’à l’ensemble des équipes qui font tout pour remettre la PRÉSIDENCE DE LA DESTINÉE DE CE PAYS ENTRE NOS MAINS