par Abdoulaye Mady NDiaye | Mar 19, 2020 | Contributions
IN DUBIO PRO MALO
Tel est le Principe de Précaution, le Principe de Responsabilité.
Et telle est aussi la Logique d’Etat.
Chers Compatriotes, l’heure est grave, c’est l’Etat d’Urgence, la Guerre Mondiale contre un ennemi invisible.
Et comme le dit le DG de l’OMS l’Afrique doit se réveiller et prendre des mesures radicales.
Le confinement est une lourde décision, mais c’est la décision à prendre par les dirigeants pour protéger l’Afrique tant qu’il est encore temps.
CARACTERISTIQUES DU VIRUS
Généralités
Les virus en général ne sont même pas considérés comme des être vivants tellement ils sont petits (entre 10 et 400 nm) et leurs capacités élémentaires et limitées. Ce sont des agents dont la fonction essentielle est la réplication en parasitant les mécanismes d’une cellule vivante.
Exemples de virus : Fièvre Jaune, Sida, Ebola, Hépatite, Grippe, Rougeole, H1N1.
Les caractéristiques du COVID-19 CORONAVIRUS
Contagion : 1 pour 2 à 3 personnes, en espace confiné jusqu’à 35%. Pour la grippe par comparaison 1 à 2.
Taux de Mortalité : 1 à 5% en fonction de la réactivité au confinement de la population. Pour référence le taux de mortalité de la grippe est de 0.1% et tue 10000 personnes par an en France.
Saisonnalité : pas sûre, ne pas compter dessus selon les recommandations de l’OMS, même si le virus a affectionné des régions avec des températures entre 5 et 11 degrés.
Symptômes : ressemblent à un coup de froid ou au palu ; maux de gorge, voix rauque, maux de tête, soucis digestifs, douleurs corporelles, toux grasse ou sèche, fièvre, diarrhée, difficultés respiratoires.
Période d’Incubation : 2 à 13 jours. Attention un porteur peut paraître asymptomatique et contaminer d’autres personnes sans savoir qu’il est malade.
Résistance : en mode virion (en dehors) il résiste à des températures de 56 à 65 degrés et peut rester infectieux plusieurs heures voire jours particulièrement sur des surfaces métalliques.
ETAT DE LA SITUATION
PRECAUTIONS : Ecart significatif entre CAS REELS et CAS DETECTES ; jusqu’à un facteur (x30).
PANDEMIE : l’OMS exhorte les Africains à se REVEILER et prendre des actions radicales afin d’éviter le schéma catastrophique européen.
ATTENTION : on a une progression exponentielle, ça couve avant d’exploser. Le temps que l’on se rend compte de la progression c’est déjà trop tard. La décision de confinement
SE PROTEGER VOUS ET PROTEGER LES AUTRES
COMMENT SE PROTEGER ? Adoptez les gestes BARRIERES. Plan : STOP-COVID-19, ANTI-COVID-19, mais aussi aérez régulièrement vos maisons, laissez entrer la lumière, évitez l’automédication, et les anti-inflammatoires qui semblent aggraver la maladie :
- Se laver bien et régulièrement les mains,
- Evitez de toucher vos yeux, nez et bouche directement,
- Gardez vous distances, évitez les accolades, bises et poignées de mains,
- Tousser ou éternuer dans son coude,
- Nettoyez et désinfectez les objets et surfaces touchés fréquemment : poignées de portes, rampes, boutons etc,
- Confinement, Restez chez vous autant que possible,
- Evitez les déplacements et voyages et si possible les transports en commun,
- Evitez toutes les formes de rassemblements de personnes,
- SI VOUS ETES MALADE pour ne pas contaminer les autres,
- Utilisez des mouchoirs à usage unique si poubelle disponible,
RENFORCER VOS DEFENSES IMMUNITAIRES
COMMENT SE PROTEGER ? Adoptez les gestes BARRIERES. Plan : STOP-COVID-19, ANTI-COVID-19, mais aussi aérez régulièrement vos maisons, laissez entrer la lumière, évitez l’automédication, et les anti-inflammatoires qui semblent aggraver la maladie.
En attendant le vaccin (d’ici un an environ), la CHLOROQUINE et le vaccin de la ROUGOLE semblent être des pistes (ce qui expliquerait l’immunité relative des enfants qui sont relativement récemment vaccinés comparés aux personnes plus âgées, à confirmer) ; prenez régulièrement des bains de soleil (vitamine D), faites de l’activité physique, ayez un sommeil de qualité, Prenez des aliments riches en Vitamine C; Nébédaye (Moringua), Citron, Aloès, Fruit du Baobab. Prenez aussi des soupes de légumes et boissons chaudes, limitez le sucre, …
par Abdoulaye Mady NDiaye | Juil 6, 2019 | Contributions
Si cette fermeture annoncée est effective, elle démontrera encore une fois l’unilatéralité du pouvoir et la distanciation entre le Peuple Souverain et le gouvernant qui était sensé le représenter.
Ce serait aussi une régression de près de 20 ans en arrière pour le Sénégal, malgré entre temps la découverte de richesses telles que l’Or, le Zircon et les Hydrocarbures ; ainsi les Sénégalais reçoivent des services régaliens de moindre bonne qualité qu’il s’agisse d’enseignement de santé ou d’administration.
Si des questions budgétaires se posent aujourd’hui malgré les 7000 Milliards du Club de Paris, le seul responsable, c’est celui qui est à la tête et qui du reste détient la totalité des pouvoirs.
Nous-mêmes sommes un usager des consulats qui sont à l’image de l’Administration Sénégalaise, c’est-à-dire peu performante, ne nous voilons pas la face. Et tout particulièrement cette non performance est essentiellement due ici à une palanquée de nominations politiques de gens sans postes opérationnels. Qui nomme ces gens-là ? Quand un PDG dit que son entreprise ne marche pas, il devrait être le premier à démissionner. Qui leur fixe les objectifs à atteindre ? Qui est le Chef de l’Etat ? Un bon chef ne critique pas son organisation mais apporte des solutions tout en assurant la continuité du service. Il y a suffisamment de marge de manœuvre entre dégraissage et amputation !
C’est pourquoi, je lance un appel à la Société Civile des Sénégalais de l’Extérieur « Diaspora » à se mobiliser et à prendre ses responsabilités. Si l’Etat abandonne ses responsabilités dans certaines provinces de France, Navarre ou d’ailleurs et bien prenons les, nous les « Modous » !
Nommons des Consuls Honoraires Sénégalais parmi nos concitoyens dans tous les lieux abandonnés et même au-delà. Choisissons les démocratiquement, nommons les avec des missions biens définies et donnons leurs les pouvoirs nécessaires.
Ce serait un juste retour de la Démocratie Populaire et d’une forme de gouvernance modernisée vers la Démocratie Liquide, ce qu’aujourd’hui les briques technologiques disponibles nous permettent parfaitement d’expérimenter et d’innover encore une fois.
Refusons sans jouer les victimes, il n’est nul besoin de marches ou de protestations, mais faisons de ce problème une opportunité de faire avancer le Sénégal.
Mes pensées vont particulièrement vers tous ceux qui vont se retrouver en difficultés alors qu’ils se sont battus chaque jour pour faciliter la vie des Sénégalais de l’étranger.
Nous sommes un Peuple de Lions et le Lion ne connaît que l’offensive ! Et chaque occasion est bonne pour aller de l’avant.
Vive le Sénégal Triomphant.
Abdoulaye Mady NDIAYE
par Abdoulaye Mady NDiaye | Avr 5, 2019 | Contributions
L’Indépendance ECONOMIQUE ? Non !! L’essentiel de l’économie formelle du Pays est entre les mains des étrangers (Energies, Mines, Telecoms, Banques, Eau, Autoroutes, Aéroports, Ports, Supermarchés …)
L’Indépendance MONETAIRE ? Non ! La Banque Centrale est inféodée au Trésor Public Français et la monnaie FCFA est une devise exclusive de la Banque de France.
L’Indépendance POLITIQUE ? Non ! Je ne vois aucune auto-détermination sénégalaise, on attend soigneusement les directives des chancelleries pour ne pas froisser nos « amis » tt on copie surtout la France sans même prendre le temps souvent d’adapter.
L’Indépendance du PEUPLE SOUVERAIN ? Non ! Il est asservi par la Khalissocratie, affamé car sans travail, mal soigné, mal nourri, mal éduqué, intoxiqué par la pollution, la saleté et l’insécurité alimentaire.
L’Indépendance CULTURELLE ? Non !! Où sont passés Diom, Dioup, Goré, Kadou ? Ca fait presque rire de croire encore à ces fondamentaux de notre culture.
L’Indépendance INTELLECTUELLE ? Non !! Où sont passés nos intellectuels, penseurs, chercheurs, philosophes et savants véritables et pas les fumistes de la doctrine de l’argent roi, de la transhumance et de la khalistocratie ?
C’est CA L’INDEPENDANCE ? NON !! Alors arrêtez d’identifier le Sénégal par le LION. Parlons plutôt d’un GRIFFON qui crache du feu avec des pattes poilues et des griffes démesurées.
Le LION lui ne triche pas, il gagne ou il perd mais toujours loyalement et dignement. Il est sincère et honnête. Il préfère être solitaire que mal accompagné. Et surtout, Il ne n’accepte AUCUNE FORME DE DEPENDANCE.
Le LION du Sénégal n’a vraiment pas le cœur à la fête. 59 ans qu’on lui parle d’une CHIMERE d’indépendance ! 59 ans qu’il voit des Pays qui ont pris leurs responsabilités, qui ont abandonné les écrans de fumées pour se retrousser les manches et se sont mis au travail. Il se pose la question de ce qui restera de son Peuple dans 50 ans à ce rythme là.
Ses pensées s’envolent vers l’ETHIOPIE pays sans ressources frappée par la famine en 1985 et dont la compagnie aérienne, Ethiopian Airlines, règne aujourd’hui en maître sur le ciel africain avec une flotte de plus de 110 avions et où de jeunes pilotes Ethiopiens de 30 ans sont aux commandes d’avions Boeing 737 MAX neufs et qui plus est font parfaitement bien leur travail car parfaitement bien formés.
Il se met à rêver le LION du Sénégal de NIGERIA où 90% de l’économie est entre les mains de sociétés nigérianes et où des capitaines d’industrie comme Dangote sont capables d’investir au Sénégal comme aucun LIONCEAU ne peut prétendre.
Le LION imagine la CHINE qui en l’intervalle de 26 ans nous a construit 2 STADES de DIVERTISSEMENT Amitié et Lambopôle qui fait presque face à l’échec national du TECHNOPOLE et a réussi à devenir dans cet intervalle de temps la première économie mondiale rien que par la motivation, la détermination et le travail de ses petits DRAGONS et nous a laissé sur place car il nous a caché sa technologie lors des 2 réalisations et nous n’avons toujours pas de LIONCEAU avec la technicité nécessaire et les moyens industriels pour construire des ouvrages d’envergure pour le pays.
Le LION visualise le RWANDA et Kigali la ville la plus propre d’Afrique et où WOLKWAGEN le premier constructeur automobile européen a implanté une usine d’assemblage de voiture.
Le LION songe au GHANA pour sa décision de prendre une réorientation scientifique et technologique de l’éducation et la réelle gratuité de l’éducation supérieure alors qu’il a une culture anglo-saxonne de l’éducation
Enfin il s’identifie à son ancêtre le SPHINX d’EGYPTE qui détient l’une des premières armées au monde.
Cher compatriote désolé mais l’heure n’est pas à la fête de quelque chose qui n’est que de la poudre aux yeux, ni au gaspillage, ni à l’étalage d’une fausse puissance. Le Peuple Souverain doit se réveiller et mettre de côté les écrans de fumées des fumistes (poukere) le travail qui nous attend est PHARAONIQUE et nous avons pris beaucoup trop de retard dans la course effrénée des Nations et ce ne sont pas les « politikcien » qui ont fait de la politique leur métier et qui occupent la presque totalité de la scène et de l’activité du pays, sans aucune culture véritablement du travail ni savoir-faire qui vont nous en sortir.
LE LION ROUGE A RUGI SANS SUCCES ET IL VA FINIR PAR VOIR ROUGE SI CA CONTINUE COMME CA !
C’est pourquoi j’appelle les forces de résistance et de progrès à le rejoindre vite et avant que la situation ne devienne définitivement irréversible pour la reconquête des souverainetés et la maîtrise de notre destin !
Que Dieu nous vienne en aide.
Abdoulaye Mady NDIAYE
Avenirs Africains Associés – 3A
par Abdoulaye Mady NDiaye | Mar 11, 2019 | Contributions
Aujourd’hui, il est beaucoup question de dessalement de l’eau de mer pour la production d’eau douce.
Il est cependant nécessaire de bien voir et détecter les bienfaits de ce procédé autant pour la satisfaction d’un besoin immédiat que sur notre environnement, notre écosystème dans l’avenir.
Au Sénégal nous avions eu la chance de mettre en place l’une des toutes premières écoles supérieures de pointe en matière de technologie et de procédés de fabrication, l’ex Institut Universitaire de Technologie (IUT) en 1974 devenue aujourd’hui École Supérieure Polytechnique (ESP) avec des départements de formations qui sont complémentaires mais qui, avec les décennies des ajustements structurels n’a pas pu répondre aux attentes et aux besoins d’innovations techniques et technologiques pour anticiper par des recherches pointues les besoins liés au développement de l’Afrique.
Une usine de dessalement d’eau de mer va être installée au niveau des Almadies dans un pays ayant la zone la plus poissonneuse du monde…
Cela entraînera certes des conséquences pas seulement positives mais néfastes surtout si le gouvernement ne prend pas des mesures spécifiques d’accompagnement.
LES MENACES LIÉES A LA SAUMURE :
Les restes de saumure menacent le dessalement futur.
Le nombre croissant d’usines de dessalement dans le monde menace l’utilisation durable de la technologie, prévient une étude.
L’étude soutenue par l’ONU, publiée aujourd’hui dans la revue en ligne Science of The Total Environment, met en garde sur le fait que la mise à la mer des restes de saumure coûte cher, nuit à l’environnement et menace l’utilisation future de l’eau de mer pour le dessalement.
Selon ses estimations, près de 16 000 usines de désalinisation produisent actuellement 95 millions de mètres cubes d’eau douce par jour. Chaque litre d’eau fraîche produit 1,5 litre de saumure, soit environ 142 millions de mètres cubes par jour, soit environ 50% de plus que les estimations précédentes.
L’équipe de recherche de l’Institut de l’eau, de l’environnement et de la santé de l’Université des Nations Unies à Wageningen (Pays-Bas) et de l’Institut de science et de technologie de Gwangju (République de Corée) a produit les nouvelles estimations en analysant les dernières données disponibles. Par exemple, l’étude la plus complète sur les résidus de saumure à ce jour.
«Nous nous concentrons actuellement sur la fabrication de technologies de dessalement au niveau local. Après cela, nous donnerons définitivement plus d’inquiétude au problème »,
Manzoor Qadir, chercheur à l’Institut de l’Université des Nations Unies et l’un des auteurs de l’étude, a confié à SciDev.Net qu’il était convaincu que l’étude sensibiliserait aux risques de la production de saumure et pourrait éventuellement conduire à une gestion plus efficace afin de préserver les avantages de la production.
«Nous voyons des gouvernements dans des pays où l’eau est rare, principalement pour l’approvisionnement en eau dessalée», a-t-il déclaré.
Près de la moitié de la production mondiale d’eaux dessalées se situe dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), avec 48% du total mondial. Le principal producteur, le Royaume d’Arabie saoudite, en produit 15,5%, suivi par les Émirats arabes unis avec 10,1% et ensuite par le Koweït avec 3,7%.
La région avec la deuxième plus grande part des opérations mondiales de dessalement est la région Asie de l’Est et Pacifique (18,4%), suivie de l’Amérique du Nord (11,9%), de la Chine (7,5%) et des États-Unis (11,2%).
Ces chiffres correspondent à la quantité de saumure restante. Selon l’étude, 55% de la saumure produite dans le monde se trouvent dans quatre pays: Arabie saoudite (22%), Émirats arabes unis (20,2%), Koweït (6,6%) et Qatar (5,8%). ).
Quatre usines de dessalement sur cinq sont situées à 10 kilomètres de la côte et la saumure qu’elles produisent est rejetée directement dans l’environnement marin. Selon les auteurs, cela représente un risque élevé pour les écosystèmes marins, car la saumure augmente considérablement la salinité de l’eau et la pollue par des éléments toxiques tels que le cuivre et le chlore.
QUELLES SOLUTIONS :
Parmi les solutions suggérées, on utilise la saumure en aquaculture et l’irrigation de plantes qui tolèrent des conditions de salinité élevées. L’une des possibilités économiques relevées dans l’étude est la récupération des minéraux de la saumure – tels que le sodium, le magnésium, le calcium, le potassium et le lithium – pouvant être exploités à des fins agricoles ou industrielles.
Qadir dit qu’il existe de bons exemples de telles stratégies. Le Centre international d’agriculture biosaline (ICBA), par exemple, a réussi à utiliser de la saumure pour l’aquaculture afin d’augmenter la biomasse de poisson de 300%.
La saumure a également été utilisée avec succès pour cultiver la spiruline et irriguer des arbustes et des cultures tolérants au sel, bien que cette méthode ne puisse empêcher la salinisation des sols.
Qadir pense que les environnements salins et les sources d’eau ont besoin d’une surveillance et d’une gestion continue. Un exemple est un projet mis en œuvre par le laboratoire américain Salinity, qui gère les sels et les minéraux et surveille le sol au moyen d’un système de capteurs.
Dionysia Angeliki Lyra, experte de l’ICBA, déclare que la surveillance des sols est très importante là où les pays décident de pratiquer l’agriculture biosaline. Cela peut impliquer le maintien de systèmes de drainage efficaces, l’échantillonnage régulier du sol et de l’eau pour surveiller les niveaux de salinité, et la sélection de systèmes d’irrigation adaptés aux plantes tolérantes au sel.
Lyra a souligné que, dans l’un des projets de l’ICBA, l’utilisation d’eau salée en aquaculture avait favorisé la croissance de la plante à fleurs Salicornia, qui, grâce à la disponibilité accrue d’éléments nutritifs provenant des plantes, avait entraîné une augmentation du poids du tilapia de 50 à 600 grammes sur une période de cinq mois, deux fois plus vite que les 10 mois précédents.
Les pays sans expérience dans le dessalement, tels que l’Égypte, n’envisagent pas ces solutions pour le moment, se concentrant plutôt sur la mise en place de la technologie pour la production d’eau douce.
Mohammed Al-Sayed, chercheur au Centre d’excellence en recherche sur le dessalement en Égypte et au Centre de recherches sur le désert (RDC), a déclaré à SciDev.Net que la prise de conscience de ce problème existait. «Cependant, nous nous concentrons actuellement sur la fabrication de technologies de dessalement au niveau local. Après cela, nous allons certainement donner plus d’importance à la question», a-t-il déclaré.
Les quelques usines de dessalement qui fonctionnent actuellement en Égypte dépendent des technologies importées. Bien qu’ils rejettent de la saumure dans la mer, ils la dispersent également dans des zones plus vastes afin d’éviter des impacts importants sur la vie marine.
Al-Sayed décrit cette solution comme une solution temporaire: à terme, la saumure augmentera la salinité de l’eau de mer, ajoute-t-il. Il est donc crucial de trouver une solution plus permanente.
Nous voyons donc que tout besoin demande des moyens qui, s’ils ne sont pas créés localement, générons plus de problèmes que la solution au besoin lui même.
Pour le cas du Sénégal il est très important d’analyser le ratio risques bénéfices étant données les menaces à long terme sur la pêche et la présence de sel déjà élevée au niveau des sols et de certaines des nappes phréatiques.
El Hadj Idrissa Traoré
Conseiller Technique Avenirs Africains Associés @3A
par Abdoulaye Mady NDiaye | Fév 25, 2019 | Contributions
Selon nos estimations basées sur une analyse statistique rigoureuse des résultats des bureaux de votes, le pouvoir en place ne l’emporterait que de l’ordre de 40 % des suffrages. Ce qui signifierait que le pays aurait basculé vers l’opposition.
Le scrutin que nous avons suivi depuis Thiès s’est très bien déroulé dans sa majorité sauf du côté du Fouta et de l’Ile de France où de sérieux dysfonctionnements ont été signalés. Ceci dit cela ne peut renverser mais vient d’ailleurs conforter les tendances estimées.
Le devoir patriote et non partisan nous oblige nous Avenirs Africains Associés @3A à travailler pour qu’il ait un deuxième tour et faire en sorte que la volonté du Peuple Souverain du Sénégal soit mise en œuvre.
Nous félicitons tous les Candidats à la Magistrature Suprême car ils ont mené une très belle et digne campagne franche mais cordiale.
Nous prions pour les patriotes morts pour la défense des acquis démocratiques.
Nous appelons la France à un devoir de réserve et de respect du Peuple Souverain du Sénégal et à taire toute immixtion dans le processus électoral, attitude qui serait aussi la meilleure, si elle cherche à défendre ses intérêts au Sénégal.
Enfin nous félicitons Notre Peuple fondamentalement attaché à la paix et à la justice pour sa maturité démocratique et sa capacité de discernement. Ce ne sont ni les méga meetings, ni les tam-tams ou les tentatives d’achat de conscience mais l’ultime raison d’état qui détermine son choix au niveau de l’isoloir.
Pour finir je m’adresse au pouvoir pour dire au Premier Ministre que ce n’est pas à lui d’annoncer quelque résultat que ce soit mais aux commissions départementales et nationales, que ses annonces en wolof et en français ne sont pas concordantes et toutes infondées.
Je m’adresse au Président de la République pour lui dire que ses réalisations sont certes monumentales, car nous avons roulé avec nos équipes sur ses ponts et autoroutes et traversé sa cité de Diamniadio à la recherche de parrains, mais qu’il s’est trompé de vision et donc de priorités et donc sur beaucoup de choses.
A sa Vision d’Emergence le Peuple oppose une Vision Souveraine.
Qu’il avait été élu pour rebâtir une vieille nation pas du béton, pour promouvoir la démocratie et faire reculer la khalissocratie, pour libérer davantage la justice, pour donner du travail aux Sénégalais pas aux entreprises étrangères, pour faire avancer le pays tout entier pas juste une frange de la population.
Nous voyons le Sénégal comme un pays souverain et moderne qui s’appuie sur les fondamentaux de sa culture pour mieux se projeter vers l’Avenir.
Pour un Sénégal Triomphant Enfin !
Abdoulaye Mady NDIAYE Président Avenirs Africains Associés @3A
par Abdoulaye Mady NDiaye | Déc 28, 2018 | Communique de Presse, Contributions
Nous ne nous sommes pas désistés, nous avons travaillé d’arrache-pied mais nous n’avons pas atteint l’objectif.
Nous n’avons pas pu atteindre l’objectif du minimum de parrainage et nous en sommes même très loin malheureusement, pour plusieurs raisons :
1/ d’une part, pour des raisons internes et nous devons faire évoluer notre organisation ; améliorer nos processus de fonctionnement et notre efficacité. Pour un jeune parti comme le nôtre rien de plus normal.
2/ d’autre part, pour des raisons liées au comportement des parrains avec une monétisation constatée sur la totalité du territoire, au niveau de la capitale comme en province, ce qui est non conforme à notre système de référence et à notre étique et qui a ralenti notre progression.
3/ et pour finir pour des raisons intrinsèquement liées à la loi et à la fiche de parrainage elle même.
En effet : La fiche contient des informations de nature manifestement trop confidentielle telles que les données de date de naissance et de lieu géographique. Nous jugeons cela inapproprié à partir du moment où le numéro d’électeur est déjà pris en considération et que la région est indiquée sur la fiche. Il s’agit d’élections pas d’enquête démographique !
Nous pensons que le Président en exercice devait être qualifié d’office, un peu comme à la coupe du monde et on parle ici que de bon sens car il a forcement 1% de parrainage. Et en plus, cela permet de garantir qu’aucun denier de l’état soit impliqué dans cette campagne de parrainage.
S’agit-il de crédibiliser des candidatures ou d’un premier tour déguisé de l’élection ? En effet l’accumulation excessive de parrainages par certains candidats prive de facto à d’autres candidats d’exercer leur droit constitutionnel du fait des limites mathématiques du fichier électoral.
Pourquoi n’est-il pas clairement indiquer sur la fiche que le double parrainage ainsi que sa monétisation sont répréhensibles ? Pourquoi le législateur a omis cette précision élémentaire ?
La Constitution du Sénégal soutend un principe fondateur, à savoir que l’on ne peut distinguer les Sénégalais entre eux du fait du principe d’égalité absolue. Malheureusement sur le terrain, nous avons rencontré plusieurs catégories de citoyens : Les citoyens de plein droit détenteurs d’une carte CEDEAO flanquée d’une carte d’électeur au verso, les citoyens de moindre droit détenteurs de carte CEDEAO seule ou de récépissé exclus du parrainage, les presque hors la loi avec des anciennes cartes.
Cette situation sur les cartes d’identité depuis 2016 révèle une sérieuse incompétence de l’état et son caractère non transitoire est une grave violation de la Constitution et de son principe d’égalité devant la loi de tous les citoyens par la catégorisation durable des citoyens alors que nous sommes dans une période intense et décisive pour notre démocratie (Référendum, Législatives, Présidentielles).
Les 3A – AVENIRS AFRICAINS ASSOCIES – sont une force nouvelle dans le paysage politique Sénégalais, d’innovation de transformation et de renforcement de sa démocratie et faut-il le rappeler nous n’avons aucune collusion avec le pouvoir en place. Ceci dit, nous ne nous reconnaissons pas non plus dans la majeure partie de l’opposition.
Nous comptons ainsi rester à équidistance de ces deux ensembles et continuer avec détermination la construction de notre parti avec une vision panafricaine, de conquête des souverainetés et résolument d’Avenir.
Pour finir nous exigeons dans les meilleurs délais le récépissé des 3A coincé depuis Avril 2018 entre les mains de l’administration de l’intérieur ce qui a compliqué jusqu’au dernier moment les modalités de notre candidature.
Merci à prés de 30000 parrains qui ont rejoints ou porté de manière sincère notre candidature sur 10 régions et 9 pays et dont un bon nombre m’a serré chaleureusement la main et qui sont certainement très attristés aujourd’hui de ne pas nous voir dans la liste des qualifiés.
Merci aux militants et le staff des 3A qui pour la plupart sont entrés en politique avec nous motivés par la force des nouveaux messages que nous défendons.
Et comme dit Nelson Mandela : Nous ne perdons jamais, car soit nous gagnons, soit nous apprenons !
Fait à Dakar le 28 décembre 2018
Abdoulaye Mady NDIAYE
Président Fondateur des 3A
AVENIRS AFRICAINS ASSOCIES
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